• zoe@jlai.luOP
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    1 year ago

    mais les marges vont se resserrer surtout de nos jours: maintenir des serres va coûter puisque la toile est fabriquée à partir de polymères de pétrole duquel on est essaie de se dépasser, mais aussi avec l’eau qui est plus rare, ça fera des gains peut être ( pour le cas de légumes au moins ), mais élever des bovins à ciel ouvert ? je commence à m’en douter sincèrement…en plus on essaie d’importer des légumes de l’Afrique surtout les légumes consommatrices d’eau genre tomate et fruits genre agrumes pour externaliser le risque d’épuisement des aquiéfères à ces pays (qui sont les plus menacés pourtant) tant que le coût de transport le permette biensûr …

    • Snoopy@toulouse.social
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      1 year ago

      @zoe oui, mais je continuerai avec une serre. C’est une question d’autonomie alimentaire par rapport au climat, saison.

      Et tu as la sécurité sociale alimentaire.

      • zoe@jlai.luOP
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        1 year ago

        exactement: la souverainté alimentaire n’a pas de prix

    • Snoopy@toulouse.social
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      1 year ago

      @zoe >en plus on essaie d’importer des légumes de l’Afrique surtout les légumes consommatricess d’eau genre tomate et fruits genre agrumes pour externaliser le risque d’épuisement des nappes d’eau fraîche à ces pays, tant que le coût de transport le permette bien sûr …

      Ça c’est pas une question d’eau. C’est le marché et politique. Ça a des effets délétère : on est obligé de suivre ces prix bas en rognant nos marges.

      • zoe@jlai.luOP
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        1 year ago

        Ça c’est pas une question d’eau. C’est le marché et politique. Ça a des effets délétère : on est obligé de suivre ces prix bas en rognant nos marges.

        je peux argumentner que si on était remuneré convenablement, on aurait pas dû être obligé à chercher des mesures pour diminuer les coûts. Si il y a un élement qui avait vraiement un effet délètere sur toute cette chaîne, ce serait les capitalistes et les chefs d’entreprise

        • Snoopy@jlai.lu
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          1 year ago

          La difficulté est celle ci : Si j’augmente le prix de vente de mes légumes, je prive les pauvres d’une alimentation de bonne qualité. Si je baisse, je n’ai plus rien pour vivre, ni développer mon activité et avoir un fond de trésorie.

          Et c’est pour ça que je crois fermement à la sécurité sociale alimentaire. Notre gagne-pain doit etre désolidarisé de la production (aléa climatique+marché) et offrir une nourriture accessible à tous et toutes.

          C’est à dire etre correctement rénuméré et proposé des prix bas, voire nul sur la base des SPG, convention : respect environnement, humain, circuit court.