Oui
C’est une solution, cela permet à la victime de reprendre confiance au lieu.
Cependant ce n’est clairement pas la seul solution qu’il faut mettre en place, cela ne va pas arrêter la/les personne(s) d’harceler la victime.Il faut aussi une réforme de l’institution scolaire (entre autre) avec la fin du pas de vague et des vraies sanctions pour les personnels qui mettent la poussière sous le tapis. Les articles parus cette semaine à propos de la lettre de menaces à peine voilées adressée par un rectorat aux parents d’un enfant qui s’est suicidé à cause du harcèlement dont il était victime sont à vomir. La personne qui l’a écrite et celle qui l’a validée méritent d’être démises de leurs fonctions mais on va soir les confirmer dans leur poste soit les mettre dans un placard doré.
J’ai su que j’allais pas être d’accord avec ce que l’auteur allait développer quand j’ai lu ce paragraphe : « De même, de nombreuses situations, abusivement désignées comme « harcèlement scolaire », relèvent de la violence entre pairs, d’une conflictualité inhérente à la vie sociale des enfants et des adolescents. »
On ne tolère pas des comportements toxiques au travail mais à l’école, oui ?
Non. La vraie solution est de les frapper avec des câbles de démarrage jusqu’à ce qu’ils comprennent que la violence, c’est mal.
(/s, hein)
Oui.
Il y a 3 jours, ma nièce, jeune collégienne, voit sa copine se faire moquer pour son nom de famille, une 2ème essaye de boxer le malotru, qui lui fait une clé de bras. Ma nièce court chercher le cpe.
Cpe qui voit que personne n’est blessé donc osef circulez.
J’ai hurlé de rage. Cette institution mérite d’être rasée. Eloigner le harceleur est un début mais il faut encore qu’il soit identifié comme harceleur…
Goulag. Quand la branche d’un arbre est malade, on coupe la branche.